Volume 10 - 2005
Editor: Giovanni Torello

 

Maio de 2005 - Vol.10 - N 5

France - Brasil- Psy

SOMMAIRE (SUMÁRIO)

Docteur Eliezer DE HOLLANDA CORDEIRO

Sumário:

  1. QUI SOMMES- NOUS (Quem somos)
  2. LE TOXICOMANE A-T-IL PERDU LA DIMENSION DU SACRÉ? M. Singaïny Erick J-Daniel
  3. O TOXICÔMANO TERIA  PERDIDO A DIMENSÃO DO SAGRADO? M. Singaïny Erick J-Daniel
  4. PRÁTICAS E MODELOS TEÓRICOS EM PSIQUIATRIA : EPISTEMOLOGIA Professor J.J. Kres
  5. DEMÊNCIA : O OLHAR DO PSICANALISTA
  6. LIVRES RÉCENTS (LIVROS RECENTES)
  7. ASSOCIATIONS (Associações)
  8. REVUES (Revistas)
  9. SELECTION DE SITES (Seleção de sites)

1. QUI SOMMES- NOUS (Quem somos)

FRANCE-BRASIL-PSYCHIATRIE est le nouvel espace virtuel de “Psychiatry on Line” offert aux professionnels du secteur de la santé mentale d'expression lusophone et française. Ainsi, les lecteurs pourront désormais y trouver des traductions en français et en portugais d'articles concernant la psychiatrie, la psychologie et la psychanalyse. Sans oublier les rubriques habituelles : actualités, réunions et colloques, formations, associations, revues, sélection de sites.

QUEM SOMOS ?

FRANCE-BRASIL-PSYCHIATRIE é o novo espaço virtual de “Psychiatry On Line” oferto aos profissionais do setor da saúde mental de expressão lusófona e portuguesa.

Assim, os leitores poderão doravante nela encontrar traduções em francês e em português de artigos abrangendo a psiquiatria, a psicologia e a psicanálise. Sem esquecer as rubricas habituais : atualidades, reuniões e colóquios, formações, revistas, seleção de sites.

 

2. LE TOXICOMANE A-T-IL PERDU LA DIMENSION DU SACRÉ?

Par M. Singaïny Erick J-Daniel
Psychologue clinicien
Service d'addictologie du Groupe Hospitalier Sud Réunion BP 350
97448 Saint-Pierre Cedex

RÉSUMÉ :

Dans notre société moderne, le malade toxicomane est souvent écartelé par la dualité obsessionnelle de notre système de pensée et de soins (dualité psychosomatique) qui prétend lui confisquer la jouissance de la « déraison ». Face à ce discours, les sociétés traditionnelles proposent une autre conception plus holistique ou globalisante du sujet-souffrant. Corps, esprit et spiritualité ne font qu'un. A travers la présentation sommaire d'un dispositif original de traitement de la toxicomanie basé sur une alliance entre la médecine moderne et la médecine traditionnelle des guérisseurs amérindiens de la région Altiplano péruvienne, l'auteur s'interroge sur le caractère « sacré » ou transcendant de la conduite toxicomaniaque et tente d'esquisser les contours d'une pratique institutionnelle et clinique que soulève cette dimension.

Mots clés : toxicomane - sacré - transcendance - médecine traditionnelle - institution.

« L'inconnu se trouve aux frontières des sciences, là où les professeurs se mangent entre eux, comme dit Goethe (...) C'est généralement dans ces domaines mal partagés que gisent les problèmes urgents...C'est là qu'il faut pénétrer...d'abord parce qu'on sait qu'on ne sait pas, et parce qu'on a le sens de la quantité des faits »
Marcel Mauss

« Les hallucinogènes ne recèlent pas un message naturel dont la notion même apparaît comme contradictoire : ce dont des déclencheurs et des amplificateurs d'un discours latent que chaque culture tient en réserve et dont les drogues permettent ou facilitent l'élaboration... ».
Claude Levi-Strauss

LIMINAIRE

Ce qui caractérise (entre autres) notre monde environnant (Ferry, 1996), c'est précisément que nous existons sur le mode du projet où les Actions portées dans le monde (toutes activités dirigées sur les choses et les personnes qui constituent la conduite de la vie) ont une certaine signification. Mais pourtant la question du sens de ces projets qui donnent sens, nous échappe, nous dépasse. En effet, réfléchir sur le sens, c'est réfléchir sur la Vie, l'existence même, c'est donc s'interroger sur la question de la transcendance autrement dit pour reprendre le langage de la phénoménologie « la transcendance dans l'immanence à soi » : j'ai donc en moi (immanence) le sentiment contraignant du « hors soi ». Le sens de la vie est alors étroitement lié à la notion de sacré puisqu'il contient les valeurs les plus profondes de l'existence comme la vie ou la mort. L'existence humaine, diminuée de sens ne peut que se perdre dans les méandres de la pathologie. Le toxicomane a-t-il perdu la dimension du sacré ? A-t-il abdiqué l'existence ?

« MODIFICATIONS » DU CADRE DE PENSÉE

Dans notre société actuelle, le malade toxicomane est souvent « écartelé » par la dualité obsessionnelle de notre système de pensée et de soins (dualité psychosomatique) qui prétend - il faut bien l'avouer - lui confisquer la jouissance de l'autodestruction ou de la « déraison ». Quand il franchit avec fracas, la barrière du « sens commun » ou de la « réalité commune », c'est le plus souvent pour échapper à une existence sans projet, à un présent angoissant, perdu dans l'affairement quotidien. La drogue viendrait ici modifier les états de conscience et ouvrir la porte à des espaces psychiques vécus dilatés, à une plongée « trans-personnelle » (« états non-ordinaires de conscience » selon Grof, 1996) généralement incontrôlée et dangereuse. Le malade toxicomane est alors atteint dans sa propre sacralité, il est « anormalement enchaîné au fond de lui-même » (Palem, 1997). Ce qu'il y trouve, lorsque nous l'accueillons, est bien contradictoire car le traitement qu'on lui propose, aussi « bienveillant » soit-il ne fait que « couper » la part de « raison » en lui puisque son mal est une « contradiction » (Hegel) au sein de la raison mais aussi (et surtout) il nie, néglige l'expérience spirituelle ou le travail initiatique que permet le produit. Un poète du XIXè siècle, Gérard de Nerval, nous fait part de cette extraordinaire contradiction :

« Je vais essayer...de transcrire les impressions d'une longue maladie qui s'est passée tout entière dans les mystères de mon esprit ; et je ne sais pourquoi je me sers de ce terme de maladie, car jamais, quant à ce qui est de moi-même, je me sentis mieux pourtant. Parfois je croyais ma force et mon activité doublée; il me semblait tout savoir, tout comprendre ; l'imagination m'apportait des délices infinis. En recouvrant ce que les hommes appellent la raison, faudra-t-il regretter des les avoir perdue ? » (p.695). Et plus loin : « Du moment que je me fus assuré de ce point que j'étais soumis aux épreuves de l'initiation sacré, une force invisible entra dans mon esprit » (p. 740).

Cette induction de perceptions nouvelles se pratique généralement de manière solitaire et anarchique (particulièrement dans les usages de drogues quotidiens), dans des pseudo-rituels (« initiations sauvages » réalisées dans des espaces profanes), comme si le malade toxicomane voyageant « sans aucune carte » ni point de repère, s'était retranché dans l'oubli : d'abord il s'oublie soi-même parce qu'il est tout entier à l'intérieur du « monde-autre » selon la formule suggérée par Perrin (1992) et il oublie le Temps (« temps du monde » qui rend possible la possibilité « d'être » mais aussi l'expérience de l'altérité). Dans un tel moment « d'oubli », il n'est plus question pour le malade toxicomane de s'advenir (il lui est impossible d'ouvrir le temps où il puisse être présent à son passé et à son avenir) et de se comprendre, c'est-à-dire de faire sens en existant dans un projet de monde. Ensuite il oublie qu'il participe au concert de l'Univers, au jeu du divin, au Mystère de la Vie et qu'à vouloir accéder à l'ivresse divine sans aucune préparation - nous savons que le malade expérimente par la drogue un nouvel état mental qualifié de « numineux » (du latin « numen », « divin ») doté d'un caractère sacré, mêlé de sentiments à la fois de fascination (fascinans) et de frayeur (tremendum) - , il risque de suivre la destinée de Prométhée (personnage de la mythologie grecque, celui-ci a volé le feu céleste et doit le payer, attaché à un rocher, le foie dévoré par un aigle). Oubli donc de la sensation traumatique du rituel, d'un désir de divin qui ne cherche peut-être pas à être reconnu mais à reconnaître.

UN EXEMPLE DU SAVOIR THÉRAPEUTIQUE TRADITIONNEL AU SERVICE DU MALADE TOXICOMANE

Il s'agirait pour le malade toxicomane en quête de sensations fortes d'atteindre une vérité et une jouissance au-delà de l'humain (dimension spirituelle de l'existence), aux limites de la vie et de la mort. Selon cette perspective adoptée ici, l'abolition des limites entre la vie et la mort, l'ordalie sont recherchées par le sujet qui se confronte à la mort pour soutenir son désir jusqu'à la limite extrême. La fonctionnalité addictive viserait ici et ce de manière paradoxale à une tentative d'adaptation du sujet au monde environnant, au maintien du sentiment d'identité. Du point de vue phénoménologique, ce comportement, similaire aux modes d'être sacré de l'homme des sociétés « traditionnelles» (Eliade, 1965) est observable sous certains aspects dans notre société moderne. Pour nous limiter à un seul exemple ici : la culture de la rave ou de la transe avec usage intensif d'hallucinogènes. Ces soirées collectives à l'esprit tribal, mêlées d'aspects rituels et inititatiques (Sueur, 1999 ; Vitebsky, 2001), mettent en jeu des procédés qui modifient la conscience de l'adepte en lui faisant vivre des expériences psychiques non ordinaires, parfois violentes et fulgurantes, intimement liées à la musique. En effet, la musique « techno », avec ses lumières saccadées, ses rythmes répétitifs, ses sons forts en continu, permet une effervescence, favorise une communion avec le sacré c'est-à-dire la sensation d'être en présence du « numen », avec la nature, le cosmos :

« Je me tourne vers la lumière des puissants stroboscopes. Que sait-il passé? En quelques dizaines de minutes, plus de deux cents jeunes hommes (...). Ils portent tous, ils comme le peu d'elles, une tenue de camouflage type militaire, des manteaux à capuche de couleur kaki et de larges « baggies », dont les patrons s'inspirent des pantalons de mineurs anglais. Le crâne nu ou bien coiffé de long cheveux tressés, ils s'offrent une danse personnelle, uniforme, robotisée par les boucles musicales de cette musique hardcore, qui, tel le martèlement des percussions africaines, les conduisent vers la transe à plus de 200 battements par minute. Comme dans les cérémonies rituelles, les drogues participent à cette quête psychédélique. Licite, illicite, qu'importe la norme(...). Chacun rumine son monde, naturel ou synthétique, tente d'ouvrir les portes de la perceptions chères au dieu de l'alchimie, au père du LSD, Sir Timothy Leary, et rêve sans lendemain» (Colombié, 2001).

« La transe (...) provoque un état libérateur. Vous vous retrouvez dans un espace d'inspiration et de liberté. Ca vous fait sortir de votre tête. Après toutes ces expériences psychédéliques, je sais que, quelque part en moi, il y a un profond désir de retrouver les états paléolithiques dont on faisait l'expérience il y a des millions d'années. Nous devons aux plantes psychédéliques d'avoir ressoudé l'humanité en développant un sens aigu du lien qui unit l'homme à la planète » (Extrait (cité par Vitebsky) d'une interview du groupe The Shamen parue dans Actuel, janvier-février 1993).

Mais le candidat à la transe ou aux voyages intérieurs est souvent bloqué, incapable de gérer l'expérience psychédélique (ou extatique) Or cette « expérience limite » reste une expérience sacrée (expérience « holotropique », chargée de « sens »), réservée aux véritables initiés puisqu'elle n'a rien d'humain. Il y a donc un lien étroit et frappant entre les observations provenant de la clinique du malade toxicomane et les descriptions anthropologiques des rituels magico-religieux traditionnels. L'entreprise psychothéra-pique occidentale doit être désormais - pour ceux qui s'y prêtent - repenser. L'accompagnement du malade toxicomane dans son travail de réconciliation (avec lui-même, le monde et le Temps) nécessite de la part du thérapeute, une rupture épistémologique avec son « dispositif technique » et son mode de pensée (dispositif qui n'est pas aussi « moderne » qu'il n'y paraît (Nathan, 1993 ; Ducousso-Lacaze, 2001) ou du moins, un autre référentiel clinique (ou conceptuel) et thérapeutique. Dans ce contexte, le thérapeute, occupé par la nécessité de faire sens, ne saurait faire l'économie des « techniques ancestrales » traditionnelles qui proposent au malade toxicomane au contraire, le défi d'une initiation véritable, une méthode empirique susceptible de lui donner accès au sens profond de son existence en transcendant « ses propres conceptions existentielles ».

« DE L'ESPACE DU PROFANE A L'ESPACE DU SACRE »

Qu'il nous suffit ici de nous référer - malheureusement trop brièvement - à un dispositif thérapeutique original qui propose à travers une alliance entre la médecine moderne et la médecine traditionnelle, des alternatives au traitement du malade toxicomane : il s'agit du centre de réhabilitation pour malades toxicomanes et de recherches sur les médecines traditionnelles, le centre « Takiwasi » (« la maison qui chante » en quechua) (Mabit, 1988) installé à Tarapoto, dans la haute Amazonie péruvienne. Son cadre de référence technico-thérapeutique repose sur des traditions de guérissage centrées sur un rituel cosmogonique. L'assise même de l'édifice thérapeutique est représentée par l'utilisation d'une plante, l'ayahuasca (Banisteriopsis caapi, classe naturelle des ၢ-carbolines), liane à effet psychotrope. Cette « liane des morts » préparée en breuvage, permet au malade toxicomane, l'accès au « monde-autre » c'est-à-dire l'expérience d'un autre type de communication avec ce qui l'entoure, les hommes, les animaux, la végétation et au delà avec lui-même, par une amplification générale des perceptions (hallucinations visuelles, olfactives, auditives, esthétiques (perceptions d'attouchements sur le corps par exemple) ou encore croisées (un son peut être vu comme une odeur)) sans création d'une addiction ou de dépendance ni même d'état semi-comateux. Le traitement du malade toxicomane passe traditionnellement par deux phases : la première phase est celle de la « désintoxication physique ». Le sujet est alors isolé totalement et pendant cinq à dix jours, on lui administre une préparation végétale vomitive (Huancahui Sacha et Yawar Panga) afin de réduire le syndrome de sevrage (rituel de purification). Cette étape difficile fait suite à la deuxième phase, phase plus lente dite de « désintoxication psychique ». Les thérapeutes eux-mêmes initiés, composés pour l'essentiel, d'un guérisseur éthno-botaniste (« curandero »), de trois assistants thérapeutes locaux, d'un médecin pour la partie biomédicale et d'un autre pour la partie psychologique et éthno-médicale vont se « positionner » comme des partenaires existentiels auprès des malades toxicomanes (l'ayahuasca est d'abord une expérience communautaire) et interagir à des niveaux distincts en utilisant des plantes pour leurs effets psychotropes (elles induisent une auto-analyse au travers d'états de relaxation, de remémoration de souvenirs anciens surgissant au cours des rêves nocturnes ou éveillés) ; un contexte de dynamique de groupe par l'utilisation de techniques modernes comme le sociodrame, l'expression corporelle, la musicothérapie, l'ergothérapie, etc. ; et un travail de psychologie (psychothérapies individuelles) mais toujours dans un rapport de respect avec l'univers de la forêt (la forêt représente pour les autochtones, un cosmos sacralisé, un univers vivant où toutes les plantes possèdent un esprit, une âme, une mère (madre) qui les anime).

 

3. O TOXICÔMANO TERIA  PERDIDO A DIMENSÃO DO SAGRADO ?

Par M. Singaïny Erick J-Daniel
Psychologue clinicien
Service d'addictologie du Groupe Hospitalier Sud Réunion BP 350
97448 Saint-Pierre Cedex

Tradução : Eliezer de HOLLANDA CORDEIRO

RESUMO

Em nossa sociedade moderna, o doente toxicômano é frequentemente dividido pelo dualismo obsessivo de nosso sistema de pensamento e de tratamento (dualidade psicossomática) que pretende confiscar-lhe o gozo da « falta de juízo  ». Diante deste discurso, as sociedades tradicionais propõem uma outra concepção mais totalizante do sujeito-sofredor. Corpo, espírito e espiritualidade constituem um todo.

Através a apresentação sumária de um dispositivo original de tratamento da toxicomania baseado em uma aliança entre a medicina moderna e a medicina tradicional dos curandeiros amerindianos da região do  Altiplano peruano, o autor se interroga sobre o caráter « sagrado » ou transcendente da conduta toxicomaníaca e tenta dezenhar os contornos de uma prática institucional e clínica que leve em conta esta dimensão.  

Palavras-chaves: toxicomania - sagrado- transcendência - medecina tradicional - instituição.

"O desconhecido encontra-se nas fronteiras das ciências, onde os professores devoram-se entre eles, como disse (...) É geralmente nestes domínios mal separados que residem os problemas urgentes ...É neles que devemos penetrar...primeiro porque sabemos que não sabemos, e porque possuimos o senso da quantidade dos fatos ",
Marcel Mauss.

"Os alucinógenos não encerram uma mensagem natural cuja noção própria aparecesse contraditória : são desencadeadores e amplificadores dum discurso latente que cada cultura possui em reserva e cuja elaboração vai ser possivel ou facilitada atravès das drogas"
Claude Levi-Strauss

LIMINAR  

O que caracteriza (entre entre outras coisas) o mundo que nos cerca (Ferry, 1996), é precisamente que existimos segundo um projeto no qual  as Ações nele ralizadas (todas as atividades exercidas nas coisas e nas pessoas  que constituem a conduta da vida) têm uma certa significação. Contudo a questão do  senso destes projetos que dão senso, escápa-nos, ultrapássa-nos. Com efeito, refletir sobre o senso, é refletir sobre a Vida, a própria existência, por conseguinte é interrogar-se sobre a questão da transcendência. Dito de outra forma, para retomarmos  a linguagem da fenomenologia, « a transcendência dentro da própria imanência »: eu tenho em mim (imanência) o sentimento constringente do « fora de sí». O senso da vida está assim estreitamente  ligado à noção de sagrado na medida em que ele contém os valores mais profundos da existência como a vida e a morte. A existência humana, tirado o seu sentido, só pode  perder-se nos meandros da psicopatologia. O toxicômano teria perdido a dimensão do sagrado? Ele teria renunciado à existência?

« MODIFICAÇÕES » DO QUADRO DO PENSAMENTO

Na nossa sociedade atual, o doente toxicômano é frequentemente « retalhado »pela dualidade obsessiva de nosso sistema de pensamento e de tratamentos (dualismo psicossomático) que pretende - devemos reconhecer- confiscar-lhe o gozo da autodestruição ou do« desarrazoar ». Quando ele ultrapassa com estrépido a  barreira do « senso comun » ou da  « réalidade  comum », é frequentemente para escapar a uma existência sem projeto, a um presente angustiante, perdido no azáfama cotidiano.

A droga viria modificar os estados da consciência, abrir a porta aos espaços psíquicos vividos como  dilatados, ao mergulho  « trans-pessoal » (« estados não ordinários da consciência  » segundo Grof, 1996) geralmente incontrolados e perigosos. O doente toxicômano é então atingido na sua própria sagração, ele é de « maneira anormal encadeado no fundo dele mesmo » (Palem, 1997). O que ele encontrou nisso, quando o acolhemos, é bastante contraditório porque o tratamento que lhe propomos, mesmo que seja o mais « acolhedor », só faz « cortar» a parte da « razão» que é a dele na medida em que seu mal é uma «contradição» (Hegel) no meio da razão. E, sobretudo, ele nega, negligencia  a experiência espiritual ou o trabalho de iniciação que o produto permite. Um poeta do Século  XIX, Gérard de Nerval,  mostrou-nos esta  extraordinária  contradição :

« Eu vou tentar ...transcrever as impressões de uma longa doença que se desenrolou inteiramente nos mistérios de meu espírito ; e eu não sei porque me sirvo deste termo doença, porque nunca, no que me diz respeito, sentí-me tão bem. As vezes, eu pensava que a minha força e a minha atividade duplicavam ; parecia-me tudo saber, tudo compreender ;  a imaginação trazía-me delícias infinitas. Ao recobrar o que os homens chamam razão, devo lastimar tê-la perdida ?» (p.695). E mais adiante: « A partir do momento em que este ponto me deu a certeza de que eu estava submisso às provas da iniciação sagrada, uma força invisível entrou no meu espírito ».

Esta indução de novas percepções se pratica geralmente de maneira solitária e anárquica (em particular  nos usos quotidianos de drogas),nos pseudo-rituais  (« iniciações   selvagens »   realizadas dentro de espaços profanos »), como se o doente toxicômano viajando « sem nenhum mapa  » nem ponto de orientação, se entrincheirasse no esquecimento: primeiro o esquecimento de si mesmo porque ele está inteiramente dentro do « mundo-outro », segundo a fórmula sugerida por Perrin (1992) ; em seguida  ele  esquece o Tempo (« tempo do mundo »que torna viável a possibilidade « de ser »  mas  também a experiência da alteridade ). Num tal momento de « esquecimento », é fora de questão que o doente toxicômano possa se realizar (é impossível para ele abrir o tempo onde pudesse estar presente em seu passado e em seu futuro) e  se compreender,  isto é dar sentido,   existir  num projeto de mundo. Em seguida ele esquece que participa ao concerto do Universo, ao jogo do divino, ao Mistério da  vida e que ao pretender ter acesso à exaltação divina sem nenhuma preparação,  - sabemos que o doente experimenta com a droga um novo estado mental qualificado de « numineux »  (do latim « numen », « divino ») dotado de um caráter sagrado, mistura de sentimentos ao mesmo tempo de fascinação (fascinans) e de terror  (tremendum) - , ele risca de seguir o destino de Prometeu (personagem da mitologia grega, aquele que rouba o fogo celeste e deve pagá-lo, preso em um rochedo, o fígado devorado por uma águia ). Esquecimento pois da sensação traumática do ritual, de um desejo de divino que não procurasse talvez  ser reconhecido mas reconhecer.

UM EXEMPLO DO SABER TERAPÊUTICO TRADICIOANAL AO SERVIÇO DO DOENTE TOXICÔMANO

Tratar-se-ia para o doente toxicômano em busca de sensações fortes de atingir uma verdade e um gozo mais além do humano (dimensão espiritual da existência), nos limites da vida e da morte. Segundo a perspectiva aqui adotada, a abolição dos limites entre a vida e a morte, a  ordália são procuradas pelo sujeito que se confronta à morte  para sustentar o seu desejo até o extremo limite. A funcionalidade adicta procuraria obter neste caso, de maneira paradoxal, uma tentativa de adaptação do sujeito ao mundo que o cerca, à manutenção do sentimento de identidade. Do ponto de vista fenomenológico, este comportamento, similar aos modos de ser sagrados do homem das sociedades « tradicionais » (Eliade, 1965) é observado em alguns aspectos dentro de  nossa sociedade moderna. Para limitarmo-nos aqui a um único exemplo : a cultura da rave ou do transe por meio do uso intensivo de alucinógenos. Estas noites coletivas de espírito tribal, misturadas com aspectos rituais e de iniciação (Sueur, 1999 ; Vitebsky, 2001), utilizam procedimentos que modificam a consciência do adepto,  permitindo-lhe viver experiências psíquicas pouco comuns, as vezes violentas e fulgurantes  ligadas estreitamente à música. Com efeito, a música «tecnológica », com as suas luzes intermitentes, seus rítmos repetitivos, seus sons fortes e contínuos, permite uma efervescência, favorece uma comunhão com o sagrado isto é a sensação de estar em presença do « numen », com a natureza, o cosmos : « Eu volto em direção da luz dos potentes estroboscópios. O que foi que houve ? Em algumas dezenas de minutos , mais de duzentos rapazes (...)Eles estão vestidos, eles como algumas delas, com uma farda disfarçada de tipo militar , capotes com capucho de cor cáqui com largas  « baggies », cujos modelos inspiram-se das calças dos mineiros ingleses. O crâneo raspado ou então bem penteado com longos cabelos trançados, eles dedicam-se uma dansa pessoal, uniforme, robotizada pelas litanias desta música hardcore, a qual, como o martelamento das  pancadas  africanas, conduzem-nos para o transe a mais de duzentas pancadas por minuto.  Como nas cerimônias rituais, as drogas participam desta busca psicodélica. Lícita, ilícita, que importa  a norma ... (...). Cada um rumina seu mundo, natural ou sintético, tenta abrir as portas das percepções prezadas pelo deus da alquimia, pelo pai do LSD, Sir Timothy Leary, e sonha sem  porvir » (Colombié, 2001).

O transe (...) provoca um estado libertador. Você encontra-se num espaço de inspiração e de liberdade, tem  a impressão de abandonar seu corpo. Apos todas essas experiências psicodélicas, eu sei que, em algum recanto do meu ser, existe um profundo     desejo de reencontrar os estados paleolíticos que jà eram fontes de experiências  hà milhões de anos. Devemos às plantas psicodélicas ter reunido a humanidade desenvolvendo  um senso agudo do laço que une o homem ao planeta », Passagem  (citada por  Vitebsky) de uma entrevista do grupo The Shamen publicada em Actuel, janeiro-fevereiro 1993).

Mas o candidato ao transe  ou às viagens interiores é frequentemente bloqueado, incapaz de gerar a experiência psicodélica (ou extática). Ora, esta « experiência limite » resta uma experiência sagrada (experiência  « holotrópica »), carregada de « senso », reservada aos verdadeiros iniciados porque ela não tem nada de humano. Existe pois um lugar restrito e  impressionante entre as observações resultantes da clínica do doente toxicômano  e as descrições antropológicas dos ritos mágico-religiosos tradicionais.  A ação psicoterápica ocidental deve ser doravante - para os que aceitam-na- repensada. O acompanhamento do doente toxicômano em seu trabalho de reconciliação (com si-próprio, o mundo e o Tempo) necessita da parte do terapeuta, uma rutura epistemológica com o seu « dispositivo técnico » e sua maneira de pensar (dispositivo que não é tão moderno como parece (Nathan, 1993 ; Ducousso-Lacaze, 2001), ou como um outro referencial clínico (ou conceitual) e terapêutico. Neste contexto, o terapeuta, acaparado pela necessidade de dar sentido, não pode deixar de se referir às«técnicas ancestrais » tradicionais que propõem ao doente toxicômano pelo contrário, o desafio duma verdadeira iniciação, um método empírico suscetivel de lhe dar acesso ao sentido profundo de sua existência transcendente « suas próprias concepções existenciais».

DO ESPAÇO PROFANO AO ESPAÇO SAGRADO »

Basta-nos aqui referirmo-nos infelizmente de maneira muito breve- a um dispositivo terapêutico original que propõe através de uma aliança entre a medicina moderna e a medicina tradicional, alternativas para o tratamento do doente toxicômano: refíro-me ao centro de reabilitação para doentes toxicômanos e de pesquisas sobre as medicinas tradicionais, o centro  « Takiwasi »[1] («a casa que canta » em quechua) (Mabit, 1988) instalada  em  Tarapoto, na alta Amazônia peruana. Seu quadro de referência técnico-terapêutico repousa nas tradições do curandeirismo centradas num ritual cosmogônico. A base mesma do edifício terapêutico é representada pela utilização de uma planta, l'ayahuasca (Banisteriopsis caapi, classe natural das -carbolinas), liana com efeito psicotrópico. Esta « liana dos mortos » preparada em poção, permite ao doente toxicômano, o acesso ao « mundo-outro » isto é à experiência de um outro tipo de comunicação como o que o cerca, homens, animais, vegetação  e mais além consigo mesmo, por uma ampliação geral das percepções (alucinações visuais , olfativas, auditivas,estéticas visuais, (percepções de contactos no corpo por exemplo) ou ainda cruzadas ( um som pode ser visto como um odor )) sem criação de uma conduta aditiva ou de dependência nem tão pouco de estado comatoso. O tratamento do doente toxicômano passa de maneira tradicional por duas fases: a primeira fase é aquela da « desintoxicação física ». O sujeito é então isolado inteiramente e durante cinco a dez dias, administra-se nele uma preparação vegetal vomitiva (Huancahui Sacha et Yawar Panga) afim  de  reduzir a síndrome de desmame (ritual de purificação). Esta difícil etapa leva a uma segunda fase, fase mais lenta de « desintoxicação psíquica». Os terapeutas são eles mesmos iniciados, constituidos, principalmente, por um curandeiro étnico-botânico (« curandero »), de três assistentes terapeutas indígenas, de um  médico para  a parte biomédica e de um segundo para a parte psicológica e étnico-médica vão se « situar» como partenários existenciais junto aos doentes toxicômanos ( a ayahuasca é antes de tudo uma experiência comunitária ) e interagir em níveis distintos pela utilização de plantas por seus efeitos psicotrópicos (elas induzem uma auto-análise por meio de estados de relaxação, de remmemoração de lembranças antigas surgindo no decurso dos sonhos noturnos ou acordados) ; um contexto de dinâmica de grupo pela utilização de técnicas modernas como o sociodrama, a expressão corporal,a musicoterapia,  a ergoterapia etc. ; e um trabalho de psicologia (psicoterapias individuais) mas sempre numa relação de respeito com o universo da floresta ( a floresta representa para os indígenas, um cosmos  sacramentado, um universo vivo onde todas as plantas possuem um espírito, uma alma, uma mãe, (madre) que os anima).

REFERÊNCIAS :

Binswanger. L. Introduction à l'analyse existentielle. Paris : Editions de Minuit ; 1971.

Chaigneau. H. Ce qui suffit. Réflexions surgies de la fréquentation au très long court de quelques schizophrènes. L'Information psychiatrique 1983 ; vol 5, 3.

Chiappe. M. El empleo de hallucinogenos en la psiquiatria folkorica. Boletin de la Oficina Sanitaria Panamericana 1976 ; 81 ; 2 : 17 6-186.

Costa Jorge, Silva Alberto : « Présent du passé, présent du présent, présent du futur en psychiatrie » - In Pichot P, Rein, W : L'approche clinique en psychiatrie - Le Plessis-Robinson, Les Empêcheurs de tourner en rond, 1999.

Ducousso-Lacaze. A. Nos psychothérapies sont-elles modernes ?  L'Evolution Psychiatrique 2001 ; 66 : 516-26.

Eliade. M. Le sacré et le profane. Paris:Gallimard ; 1965.

Ferry. L. L'homme-dieu ou le sens de la vie. Paris : Grasset et Fasquelles ; 1996.

Frankl. V. E. Le dieu inconscient. Paris : Editions du Centurion ; 1975.

Grof. S. Psychologie transpersonnelle. Monaco : Editions du Rocher ; 1996.

Jonckheere. P. Du visage au désir de l'autre. A propos de la première rencontre entre le thérapeute et le patient. L'Evolution Psychiatrique 1985 ; 50, 2 : 879-891.

Mabit. J. L'hallucination par l'ayahuasca chez les guérisseurs de la haute-amazonie péruvienne (Tarapoto).Institut Français d'Etudes Andines, Lina; 1988.

Meijer. L. Vipassana Meditation at the north rehabilitation facility.American Jails Magazine 1999; July/August.

Merleau-Ponty. M. L'institution in résumé de cours (Collège de France, 1952-1960). Paris : Gallimard/Tel ; 1968.

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Morita, Shoma. Shinkeishitsu : psychopathologie et thérapie. Traduit du japonais par Mamoru Onishi, Nariakira Moriyama, Gilbert Vila et al. Paris : Les Empêcheurs de penser en rond ; 1997.

Nathan. T. Fier de n'avoir ni pays, ni amis, quelle sottise c'était. Principe d'ethnopsychanalyse. Aubenas d'Ardèche : La pensée sauvage (3è édition) ; 1993.

Neubacher. B. Crash cure for drug addicts on Thailand clinic in Tham Krabok. Medical Herbalism : A journal for the clinical practioner 1978 : 1362-1363.

L'OMS. Rapport : stratégie de l'OMS pour la médecine traditionnelle pour 2002-2005. Genève ; 2002.

Otto. R. Le sacré : l'élément non-rationnel dans l'idée du divin et sa relation avec le rationnel. TransAndré Wund. Paris : Payot ; 2001.

Palem. Robert. M. Henri Ey psychiatre et philosophe. Paris : Rive droite ; 1997.

Peirera de Vasconcelos (sveltana). Le condomblé. Les fonctions thérapeutiques d'une pratique sociale [thèse de sociologie]. Paris : université de Paris VIII ; 1987.

Perrin. M. Les praticiens du rêve : un exemple de chamanisme. Paris : PUF ; 1992.

[Rapport de Recherche-action : « Usage des drogues de synthèse. Réduction des risques dans le milieu festif techno ». Sous la direction de C. Sueur, M. Bastianelli, A. Bénézech et R. Cammas : Médecin du Monde, Mission Rave. Paris ; 1999.

Rojas Urrego. A. Le phénomène de la rencontre et la psychopathologie. Paris : PUF ; 1991.

Sontag. S. La maladie comme métaphore. Paris : Seuil ; 1979.

Vazeilles. D. Les chamanes. Paris : Editions du Cerf ; 1991 : 110.

Vitebsky P. Les Chamanes. Le grand voyage de l'âme. Forces magiques. Extase et guérison. Köln:Duncan Baird Publishers Ltd ; 2001 : 150-153.

 

4. PRÁTICAS E MODELOS TEÓRICOS EM PSIQUIATRIA : EPISTEMOLOGIA

Professor J.J. Kres, Act.Méd.Int.Psychiatrie, n.6, Paris, 1999.

Tradução: Doutor Eliezer de HOLLANDA CORDEIRO

G. Lantéri-Laura (1) colocou de maneira excelente a seguinte  questão: « A psiquiatria tira algum benefício de seu comércio com a psicanálise ou ela perde » ? Ele mostra que a resposta depende da relação que a teoria pretende ter com a verdade. Se a psicanálise se apresenta como uma concepção geral do homem, uma antropologia, a psiquiatria só tem o que perder; se ela se apresenta como um ponto de vista relativo, levando em conta a variedade epistemológica, a psiquiatria tirará benefício, mas correrá o risco de uma possivel falta de nitidez deste ecletismo.

A questão do sujeito e do seu apagamento atual pela psiquiatria avaliadora permite de enquadrar melhor o debate. A psiquiatria não possue uma teoria própria sobre o sujeito, embora a parte da psiquiatria que se refere à psicanálise afirme interessar-se por esta questão. Contudo ela tem as vezes tendência a tomar como refém a outra parte da psiquiatria que se refere às neurociências.

Assim, diante da diversidade da teorização do sujeito segundo as orientações psicanalíticas, a psiquiatria pode ficar desconcertada. Na minha opinião, três pontos especificam esta atenção para com o sujeito : a singularidade, a história e o sofrimento. Esses aspectos da relação ao sujeito são especificados pelo inconsciente e a transferência.

Mas quem poderia pretender que a totalidade da medicina não se preocupa com o sujeito ? Ela se preocupa, sem dúvida alguma, mas no sentido da ética médica do tratamento e não da reflexão epistemológica que guia a parte da psiquiatria que se refere à psicanálise.

Sobre a relação da psiquiatra coma as teorias, Paul Ricœur insistiu no caráter metafórico dos conceitos da psicanálise e no estatuto da teoria enquanto linguagem.Ele lembrou também que a prova não era obtida pela verificação mas por critérios cumulativos, cuja convergência torna as hipóteses plausíveis, prováveis, convincentes.

Num trabalho paralelo sobre as relações subjetivas do psiquiatra com as teorias, tentei mostrar que, para cada psiquiatra, o desejo intervem na relação que ele tem com os conhecimentos, tanto no momento de adquiri-los como no momento de suas aplicações terapêuticas e de sua elaboração. Dito de outra maneira, somos implicados na relação às teorias e aos modelos existentes em psiquiatria através de nossos intinerários de formação, nossas escolhas, nosso estilo de atividade, nossas práticas terapêuticas.

CLÍNICA

Um inquérito detalhado do Sindicato dos psiquiatras franceses (1994) mostrou que a psicoterapia analítica era praticada pela maioria dos psiquiatras liberais. Mas o que entendemos por psicoterapia analítica ?

Sobre a sua relação à psicanálise, a psicoterapia analítica sempre foi considerada como uma simplificação em todos os pontos de vistas, aparecendo as vezes como uma necessidade, as vezes como uma tentação. Pouco teorizada, a psicoterapia analítica só parece possuir consistência na prática e seu saber parece ligado às regras e ao quadro que especificam-no, embora de diferentes maneiras : rítmo, posição sentada ou deitada, duração,a regra essencial permanecendo a da psicanálise, isto é a associação livre. Enfim, seus conceitos são os da psicanálise : o inconsciente e o recalque, a repetição e a transferência, a sexualidade infantil e as formações fantasmáticas.

Sua situação do ponto de vista da formação deve ser examinada, porque não existe um consenso quanto a necessidade de uma análise pessoal para o psicoterapeuta que pratica uma psicoterapia analítica. Pelo menos admite-se geralmente a necessidade de ter-se feito uma formação em grupos de controle animados por um psicanalista, o que implica a noção de uma transmissão diferente da comunicação de um saber. É no decurso desta formação do psiquiatra que se situa a mudança de atitude especificando o que há de analítico nesta psicoterapia, isto é uma posição contrária à orientação intervencionista da medicina dos cuidados. Esta mudança de atitude é mais radical do que a atenção à história singular exigida pela psiquiatria comum, porque ela considera o sintoma em sua relação a um desejo ignorado pelo paciente, que se caracteriza pela permanência e a repetição.

Quanto às suas modalidades de realização, é interessante abordarmos o problema dos diversos gráus de parentesco do modelo teórico.

O mais simples se situaria na « relação de tipo Balint », que realiza uma grande economia teórica ao colocar o acento na atualização da presença e no imediatismo do encontro, referindo-se especialmente às reações afetivas do terapeuta. Precisando do aparelhamento dos grupos, este dispositivo funda-se na riqueza da experiência. Sabemos, contudo, que este modelo psicoterápico é cada vez menos utilizado.

A psicoterapia analítica medicalizada: usa conceitos das práticas freudianas afim de obter uma ação terapêutica, uma operação na psychê e no discurso do paciente a partir de cinco modos de ação :

-a procura da lembrança, do Escondido, do vergonhoso, do que é dificil a dizer;

-o encorajamento à transferência enquanto passagem emocional e re-aprendizado afetivo;

-uma parte de sugestão pelo encorajamento à palavra, a notificação das orientações fecundas do discurso, o acento nos progressos, nas condutas e na compreensão;

-a primazia dada à qualidade envolvente da relação, sustentando a escuta ;

-a intenção de desculpar, atenuar a repressão, diminuir a angústia.

Esta modalidade psicoterápica aproxima-se de um ato médico que tivesse sido efetuado partindo do discurso sobre o discurso. A palavra é assim considerada como um meio para a designação das emoções, condutas, representações de um escondido sobre as quais pudéssemos trabalhar.

Percebemos facilmente aqui a maneira como o aparelhamento da psicanálise é tomado ao pé da letra e refundido para fins sobretudo médicos, atuantes.

Enfim, a psicoterapia analítica no sentido rigoroso se caracteriza pela suspensão de toda procura de modelagem do psichê. Não queremos tratar agora a questão dos objetivos relativos à cura psicanalítica mas somente indicar o que delimita a psicoterapia analítica : o rítmo das sessões, a duração da totalidade do processo, a atividade fantasmática, o face-a-face do terapeuta e do paciente.

Não nos referimos aqui a uma ação ativa sobre o psichê descrita mais acima, porém a um processo de tipo identificação que não é uma identificação ao terapeuta mas um processo doador de identidade, de denominação, de representação coerente e contínua de si em relação a uma história.

Por falar em teoria, do lado da elaboração do terapeuta, este trabalho pode permitir o acesso aos grandes traços da estrutrura subjetiva do paciente: posição do desejo, relação ao fantasma, situação da falta no outro.

Enfim, esta forma sem dúvida mais completa da psicoterapia analítica sendo fundada no caminhamento mesmo da palavra deve levar-nos a admitir que a linguagem não é somente uma pura função de designação, mas uma relação de estrutura com a subjetividade.

QUESTÕES EM TORNO DA FORMAÇÃO

Em medicina, o saber é dramatizado desde o início da formação pela culpabilidade, porque é da qualidade do saber do médico que dependerá o apaziguamento ou mesmo a salvação do paciente. Toda insuficiência do saber é perigosa e por conseguinte falível. Ao contrário, a atitude que a psicoterapia analítica precisa é totalmente diferente, posto que o saber é do lado do que o paciente desenvolve nas sessões e que ele não pode prever.

O terapeuta perde assim o contrôle pelo saber, enquanto a culpabilidade ligada à ignorância desaparecerá.

Isto pode até causar confusão e necessitar o acompanhamento num grupo de formação, com o risco de um recurso à teoria.

A psicoterapia analitica implica que seja suspensa a tendência a agir característica da medicina. Ora, a queixa do paciente, seu pedido tem por consequência colocar em jogo esta tendência a agir.Mais uma vez é a formação que vai indicar ao psicoterapeuta as vias podendo canalizar a energia ligada a esta tendência, e uma destas vias pode estar ligada à reflexão teórica, ao espaço de pensamento que oferece a teoria, donde uma das funções consiste em regular a relação com o paciente.

Subsistem muitas ambiguidades no estatuto da pscoterapia comparada à psicanálise, sem que percebamos na evolução atual uma evolução capaz de suprimir tais ambiguidades. Entretanto, vamos indicar algumas no quadro do exercício da prática psicanalítica e da formação.

A psicoterapia analítica pode ser considerada uma etapa da formação do psiquiatra, permitindo-lhe uma abertura mais adequada para os fenômenos relacionais. Mas ela pode também se transformer em fetiche com relação a um ideal do ego inaccessivel, no que diz rerspeito à prática psicanalítica.

Esta dupla prática terapêutica concerne um grande número de psiquiatras. Podemos refletir também sobre a influência recíproca entre os dois modos de trabalho : será que o rigor e a neutralidade da pscanálise infuenciam as psicoterapias, ou a tentação a agir da psicoterapia influencia a prática analítica do mesmo terapeuta ?

Enfim, uma questão essencial para qualquer psiquiatra é a de saber se ele pode acceder a uma posição de escuta fundada nas associações livres, sem que uma análise pessoal prealável, eventualmente exigida. Já notámos que as posições sobre esta questão variam. De fato, nenhum argumento decisivo, nenhuma experiência particular tirada da formação permite decidir entre o risco de engajar psicoterapeutas em processos relacionais que eles não poderão talvez apreender e acompanhar, e o interesse em dar aos futuros psiquitras um meio de acolher em certos pacientes o que existe de mais específico em suas singularidades subjetivas.

 

5. DEMÊNCIA : O OLHAR DO PSICANALISTA

SERA QUE A DEMÊNCIA GRAVE SÓ ATINGE OS OUTROS ? O olhar do psicanalista.

Publicado em démences@sf-neuro-org

Professor Olivier DOUVILLE

Resenha feita por Laurence Hugonot-Diener (Medforma, Paris) a partir de uma comunicação de « Olivier DOUVILLE », na X° jornada franciliana da psiquiatria da pessoa idosa: "As demências severas como ocasiões de performances " - Hôpital Européen Georges Pompidou - 4 fevereiro 2005.

Tradução:Eliezer de HOLLANDA CORDEIRO

É preciso desvendar, segundo o autor, o que se encontra escondido por trás do que alguns chamam quadros dos distúrbios do comportmento, acompanhados de confusão. As demências severas variam entre um polo melancólico e um polo persecutório, que não é predisctivel pela simples medida da deterioração cognitiva. Uma queixa destes pacientes pode ser evocadora de uma depressão, sobretudo quando existe uma dimensão sensitiva e persecutória.

ILUSTRAÇÃO DESSES PROPÓSITOS POR DOIS CASOS CLÍNICOS :

* Uma paciente de 86 ans foi hospitalizada por um estado de agitação e de confusão mental:na hora da refeição, ela imobilizou-se perto da porta , declarando: «Devo ir buscar couves no mercado, senão as crianças vão morrer de fome ». Ela falava pouco ... O autor interpretou isso como sendo na realidade uma queixa melancólica essencial. Os antidepressores permitiram mudar a maneira como a paciente vivia a sua demência, «demência ou ruína do ser ».

*Uma segunda paciente, « a velha dama colérica », fora enviada pelo serviço de urgência por que ela apresentava-se muitíssimo violenta e agitada. Sofria de um delírio de perseguição evidente: «conheço vocês, vocês estavam rodando em torno de minha casa para roubar-me as jóias ».Ela não se reconhecia no espelho. Foi no passado uma estrela do music-hall.

Ela não enxergava bem; passava melhor com seus óculos; para levá-la a falar fomos buscar fotografias do tempo de sua glória. Sofria de uma síndrome de Cottard (que é uma síndrome de negação de órgão) : « Elle não sente mais nada quando come», « Os ossos colam-se à sua pele ». Em tais situações, compreender é uma etapa importante, ninguém nunca poderá dizer «sou um demente grave». E este vai-e-vem melancólico-persecutório que alguns dementes exprimem é algo que permite-lhes continuar « a viver».

Esta interpretação lembra a posição da escola de Lyon sobre a doença de Alzheimer como uma demência psicogênica. Este tipo de enfoque que possibilita uma ajuda terapêutica, é demasiadamente negligenciado. Portanto ele permite dar um estatuto de homem completo ao doente grave, o que nos leva a olhá-lo de outra maneira.

6. Livros Recentes

LA LETTRE DE PSYCHIATRIE FRANÇAISE propõe-nos os seguintes livros :

  • LA DÉMESURE NARCISSIQUE
    Eliane ALLOUCH. Marie-Claude LAMBOTTE et Vladimir MARINOV
    Nolin-19 €
  • LECONS PASYCHANALYTIQUES SUR LES PHOBIES
    Paul-Laurent ASSOUN
    Economica-Anthropos- 8€
  • LE DESTIN EN PSYCHANALYSE
    Francine BEDDOCCK, Colette CHILAND, Patrice DUBUS et al.
    In Press-20€
  • RÉPONSES A VOS QUESTION SUR LES TOC DE L'ENFANT ET DE L'ADOLESCENT.
    Michel BOTBOL
    Solar-18,90€
  • LA DEONTOLOGIE DES PSYCHOSES
    Odile BOURGUIGNON
    Armand Colin-9€
  • LA MALADIE D'ALZHEIMER : MÉMOIRE ET VIEILLISSEMENT
    Denis BROUILLET, Arielle SYSSEAU
    PUF-8€
  • LA DETTE DE VIE : itinérarire psychanalytique de la maternité
    Monique BYDLOWSKI
    PUF-20€
  • FREUDAINES : onze lettres retrouvées de Sigmund FREUD
    Jean-Pierre CHARTIR
    Dunod-14€
  • FIGURES DE LA DÉPRESSION
    Catherine CHAVERT, René KAES, Alexandrine LANOUZIERE
    Dunod-26€
  • CRISES FAMILIALES : violence et reconstruction
    Gérard DECHERF (sous la direction)
    In Press-22€
  • POUQUOI LA GUERRE ?
    Albert EINSTEIN, Sigmund FREUD
    Rivages-5€
  • LA SANTÉ TOTALITAIRE : essai sur la médicalisation de l'existence
    Roland GORI, MARIE-José DEL VOLGO
    Denoel-22€
  • FREUD EN ITALIE : psychanalyse du voyage
    Antonietta HADDAD, Gérard HADDAD
    Hachettes Littératures -5,20€
  • ANTIDEPRESSEURS : la grande intoxication
    Guy HUGNET
    Le Cherche-Midi-16€
  • LA PAROLE ET LE LIEN : les processus associatifs dans le groupe
    René KAES
    Dunod-34€
  • INTRODUCTION AUX PSYCHOTHÉRAPIES
    Marie-Rose MORO, Christian LACHAL
    Armand Colin -9€
  • STRUCTURE FAMILIALE ET PSYCHOSE
    Gisela PANKOF
    Flammarion-7,20€
  • L'ENFANT ET LA MORT : problèmes de la clinique du deuil
    Ginette RAIMBAULT
    Dunod-21,50€

7. Associations (Associações)

Association Française pour l'Approche Intégrative et Eclectique en Psychothérapie (AFIEP)

Association Française de Psychiatrie et Psychologie Légales (AFPP)

Association Française de Musicothérapie (AFM)

Association Art et Thérapie

Association Française de Thérapie Comportementale et Cognitive (AFTCC)

Association Francophone de Formation et de Recherche en Thérapie Comportementale et

Cognitive (AFFORTHECC)

Association de Langue Française pour l'Etude du Stress et du Trauma (ALFEST)

Association de Formation et de Recherche des Cellules d'Urgence Médico-Psychologique (AFORCUMP)

Association Nationale des Hospitaliers Pharmaciens et Psychiatres (ANHPP)

Association Scientifique des Psychiatres de Secteur (ASPS)

Association Commission Des Hospitalisations Psychiatriques France (CDHP France)

Association Promotion Défense de la Psychiatrie à l'Hôpital Général (PSYGE)

Association Karl Popper

Association pour la Fondation Henri Ey

Association Internationale d'Ethno-Psychanalyse (AIEP)

Collectif de Recherche Analytique (CORA)

Ecole Parisienne de Gestalt

Ecole Française de Sexologie

Ecole de la Cause Freudienne www.causefreudienne.org

Groupement d'Etudes et de Prévention du Suicide (GEPS)

Groupe de Recherches sur l'Autisme et le Polyhandicap (GRAP)

Groupe de Recherches pour l'Application des Concepts Psychanalytiques à la Psychose (GRAPP)

Regroupement National en Psychiatrie Publique (RENEPP)

Société Française de Gérontologie

Société Française de Thérapie Familiale (SFTF)

Société Francophone de Médecine Psychosomatique

Société Française de Psychopathologie de l'Expression et d'Art-thérapie(SFPE)

Société Française de Recherche sur le Sommeil (SFRS)

Société Française de Relaxation Psychothérapique (SFRP)

Société Française de Sexologie Clinique (SFSC)

Société Française de Psycho-oncologie/Association psychologie et cancers

Société d'Addictologie Francophone

Société Ericksonienne

Société de Psychologie Médicale et de Psychiatrie de Liaison de Langue Française

Société Médicale Balint

Union Nationale des Associations de Formation Médicale Continue (UNAFORMEC)

Union Nationale des Amis et Familles de Malades Mentaux (UNAFAM)

Association Psychanalytique de France (APF)

Société Psychanalytique de Paris (SPP)

Ecole Freudienne de Paris

 

8. Revues (Revistas)

ABSTRAC PSYCHIATRIE : www.impact-medecin.fr

LA REVUE FRANÇAISE DE PSYCHIATRIE ET DE PSYCHOLOGIE MEDICALE : www.mfgroupe.com

L'ENCEPHALE:WWW.ENCEPHALE.ORG

LES ACTUALITES EN PSYCHIATRIE: www.vivactis-media.com

NEUROPSY : WWW.NEUROPSY.FR  

NERVURE : REDACTION: HOPITAL SAINTE-ANNE, 1 RUE CABANIS, 75014 PARIS. TÉLÉPHONE: 01 45 65 83 09 FAX. 01 45 65 87 40

NEURONALE (REVISTA DE NEUROLOGIA DO COMPORTAMENTO) [email protected]

PSN :(PSYCHIATRIE, SCIENCES HUMAINES, NEUROSCIENCES) : rue de la convention, 75015 paris. Fax : 0156566566

PSYCHIATRIE FRANÇAISE : [email protected]

PSYDOC-BROCA.INSERM.FR/CYBERSESSIONS/CYBER.HTML

SYNAPSE : [email protected]

EVOLUTION PSYCHIATRIQUE

9. SÉLECTION DE SITES (SELEÇÃO de SITES)

ETNOPSIQUIATRIA : www.ethnopsychiatrie.net

www.carnetpsy.com

Collège de Psychanalyse Groupale et Familiale www.psychafamille.com

Œdipe www.oedipe.org

Quatrième Groupe http://quatrieme-groupe.org

Société Psychanalytique de Paris www.spp.asso.fr

www.doctissimo.fr

Association Française Des Psychiatres D'exercice Prive:www.afpep-snpp.org

Bulletin de L'ordre des Médecins: www.conseil-national.medecin.fr

Mediagora:http://perso.wanadoo.fr/christine.couderc/

Agoraphobie.com:http://www.agoraphobie.com/

Sitesfrancophones:http://www.churouen.fr/ssf/pathol/etatanxiete.html

Distúrbios do humor (afetivos) : www.dépression.ch

Estados limites em psiquiatria: tratamento (D. Marcelli): Suicídio Escuta - 24/24 http://suicide.ecoute.free.fr

Informações sobre o suicídio e as situações de crise: http://www.suicideinfo.org/french

Centro de Prevenção do suicídio: http://www.preventionsuicide.be

Associaçao Alta ao Suicídio: http://www.stopsuicide.ch

Suicídio : http://www.chu-rouen.fr/ssf/anthrop/suicide.html

Drogas : http://www.drogues.gouv.fr/fr/index.html

S.O.S. RÉSEAUX : http://www.sosreseaux.com/

IREB - Instituto de pesquisas científicas sobre as bebidas: http://www.ireb.com/

ADDICA : Addictions Précarité Champagne Ardenne : http://www.addica.org/

INTERNET ADDICTION : conceito de dependência à Internete: http://www.psyweb.net/addiction.htm

Estupefiantes e conduta automobilística; as proposições da SFTA: http://www.sfta.org/commissions/
stupefiantsetconduite.htm


1 Mauss. M. Les techniques du corps. Journal de Psychologie, 1936 ; XXXII 3-4, 15 mars/15 avril.

2 Levi-Strauss. C. Les champignons dans la culture, in « Anthropologie structurale  II ». Paris : Ed Plon ; 1973.

3 Gérard de Nerval. Œuvres complètes. Tome III, Paris: Gallimard (coll. La Pléiade) ; 1993.

4 La transformation initiatique des candidats se fait, de manière très simplifiée, par la séparation du monde social ordinaire (dans un endroit tenu secret et éloigné de toute habitation par exemple) et par la phase initiatique proprement dite avec une phase de « déconstruction » (« période transitoire, plus ou moins longue et fastidieuse, selon les capacités de chacun à apprécier les codes et pratiques, à les assimiler, les respecter et les utiliser ») suivie d'une phase de « reconstruction » (acquisition d'une identité nouvelle, celle « d'initié », en accord avec les règles, valeurs et pratiques en vigueur) par la consommation de substances hallucinogènes ou psychotropes. Ce processus évoque (sans faire du comparatisme) quelques traits de « l'initiation chamanique » rencontrée dans certains chamanismes avec des épreuves qui comportent une phase de « destruction complète » ou de « dépeçage » de la personnalité du futur chamane (phase d'apprentissage avec l'invisible) et une phase de reconstruction ou de « renaissance » (l'initié devient chamane détenteur d'un pouvoir spirituel qui témoigne de ses liens avec l'invisible ou le monde des esprits).

5 Terme utilisé par Stanislav Grof. Holotropique : dérivé du grec holos (tout) et de trepein (tourner). Le sens est donc tourné vers la totalité, vers la globalité. [4].

6 Ce Centre soulève des interrogations de nature polémique. L'auteur utilise ici cet exemple dans une logique purement heuristique


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